Les catalogues, web ou papier, présentent les objets ou lots dans l’ordre de leur passage en vente. Ils sont assortis d’une description précisant, quand c’est possible, une attribution, une date et un lieu de production, mais aussi une estimation et une photographie.
Son contenu engage juridiquement la responsabilité du commissaire-priseur qui le produit et les experts qui s’y joignent. Le sens précis des mentions au catalogue découle aujourd’hui du décret n°81-255 du 3 mars 1981 sur la répression des fraudes en matière de transactions d’œuvres d’art et d’objets de collection.
Dans la mesure où il contient un nombre conséquent d’informations sur les objets, le catalogue est un support déterminant pour l’appréciation de la presse et des acheteurs potentiels.
Plus généralement, la publicité des ventes doit être assurée par tous moyens appropriés. Outre la diffusion des catalogues, les commissaires-priseurs volontaires et judiciaires ont recours à des annonces dans la presse et sur les sites spécialisés sur Internet (notamment sur le site Interenchères) et des affichages sur le lieu de vente. La publicité doit préciser le lieu et la date de la vente, ainsi que l’horaire, l’identité de la société, et de la personne qui dirigera la vacation.
Les études adressent également aux habitués et aux clients de l’hôtel des ventes mandaté, leur newsletter, acheminée par voie postale ou électronique. Elle présente le lieu, la date, le thème de la vente ainsi que quelques photographies d’objets, parfois même le catalogue.